Commel’explique cette vidéo proposée par Universcience.tv, Sirius, l’étoile principale de cet astérisme, est aussi, vue depuis la Terre, la plus brillante du ciel. Très proche de nous
Uncaillou venu de l’espace a traversé le ciel, samedi 16 avril 2022 au soir, observé par des centaines de témoins. Des fragments de cette météorite se sont écrasés dans l’Orne, au nord
ConsomalinGiuliano, 19 ans, a fait une chute mortelle à Fayt: «Une étoile de plus dans le ciel» Centre Centre Actu 10 Réagir Publié le jeudi 20 Mai 2021 à 18h43 Par Johanne Tinck L’émotion est
Peutêtre qu'ils ne sont pas des étoiles mais plutôt des ouvertures dans le ciel où l'amour de nos chers disparus brille jusqu'à nous pour nous
Lepays a beaucoup de problèmes, le chômage est au plus haut, les gens ont d’autres priorités. Il vous reste 61.25% de cet article à lire. La suite est réservée aux abonnés.
Lespectacle a émerveillé ou intrigué de nombreux Romands, vers 22h, samedi. Un train de satellites Starlink a traversé le ciel, laissant apparaître une
Lecolonel Florian Souyris, directeur du Service départemental d’incendie et de secours (SDIS) de l’Aveyron, en comptabilisait 300 avant la reprise du feu dans la journée de samedi. Entre les canadairs, le Dash et les hélicoptères bombardier d’eau, il y a en eu près d’une centaine supplémentaire sur plus d’une journée, après la reprise. Sans oublier l’aide
271K j'aime, 560 commentaires. Vidéo TikTok de Theo Lebrument (@le_troubadourrr) : « Ce 21 août 2022 une etoile de plus dans ce ciel, une etoile de plus qui brillera chaque soir, une etoile
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Comme tous les ans, les belles soirées d’été riment avec l’apparition de nombreuses étoiles filantes. Durant la période de l’été, il devient plus agréable de contempler le ciel. Et il arrive assez fréquemment de voir des météores qui traversent notre atmosphère. Un petit détail non négligeable est précisé par le président de la commission de planétologie. Contrairement à certains événements spatiaux, les Perséides ne nécessitent aucun instrument pour les voir ». Selon nos confrères de Demotivateur, les Perséides représentent l’une des pluies d’étoiles filantes les plus spectaculaires et se produisent tous les ans. Au plus haut de son activité, on peut voir une centaine de météores par heure. Et ce, au moment où la comète et son essaim se rapprochent de la Terre et se consument dans notre atmosphère. Comme son nom le laisse sous-entendre, la pluie d’étoiles filantes se déroule autour de la constellation de Persée. Si l’essaim météoritique se produit du 17 juillet au 24 août, le pic de la pluie se situe le week-end du 12 au 13 août. Elles peuvent apparaître de couleur rouge, bleue ou verte. Elles filent à une vitesse approchant les 58 km/seconde. Gilles Dawidowicz, vice-président de la société astronomique de France et président de la commission de planétologie, a expliqué En entrant dans notre atmosphère à 58 km par seconde, elles brûlent en laissant une traînée derrière elles. En fonction de leur composition, la couleur peut varier ». Toutefois, le rendez-vous pourrait bien se trouver compromis cette année. Et ce, du fait de la présence de la pleine Lune, qui produira beaucoup de luminosité dans la soirée du 12 août. Cela risque fortement de masquer les étoiles filantes. Il se peut toutefois que l’on puisse distinguer seulement une dizaine d’étoiles filantes par heure. Pour ne pas risquer de vous faire déranger, vous pouvez vous installer le dos à la Lune. Cela vous permettra de mieux savourer le magnifique spectacle. Des planètes également présentes En plus de la présence d’étoiles filantes, il y a aussi d’autres choses à admirer dans le ciel en août. Plusieurs planètes sembleront s’aligner au fil de la nuit, notamment Saturne, Jupiter, Mars et Vénus. Une comète géante se manifestera également à l’aide de jumelles à compter du début de la nuit. Et ce, non loin de la constellation du Scorpion. Il peut devenir assez difficile de voir la pluie d’étoiles filantes, et ce dû à la pollution lumineuse. Cependant, il reste possible de maximiser ses chances d’en prendre plein la vue. Et ce, en suivant quelques conseils. Premièrement, il reste nécessaire de laisser à ses yeux assez de temps pour s’adapter à l’obscurité. De plus, il faut essayer de ne pas fixer la pleine lune, qui peut modifier votre vision et donc la perception des nombreuses étoiles filantes. Enfin, le fait de regarder vers le nord-est peut faciliter l’admiration de ce phénomène naturel extraordinaire. Pour pouvoir pleinement admirer le merveilleux spectacle, prévoyez de prendre des vêtements chauds ou une couverture. Et pensez à bien vous tenir à l’écart de la pollution lumineuse. Enfin, surtout, n’oubliez pas de formuler un vœu ! Cette nuit restera à jamais dans vos souvenirs et dans ceux de la personne que vous emmènerez avec vous. Alors, pensez-y bien.
Nakajima G8N Renzan Rita’ “Le super bombardier de la marine impériale japonaise” L’une des particularités notables de l’aéronavale nippone durant la Seconde Guerre mondiale était de disposer autant d’aéronefs embarqués que terrestres. Cependant les seconds étaient très rarement les mêmes appareils que les premiers. Pour chaque mission la marine impériale exigeait de disposer de ses propres machines. Elle possédait par exemple des chasseurs terrestres Mitsubishi J2M Raiden qui n’avaient rien à voir avec les chasseurs embarqués Mitsubishi A6M Rei-zen. De même si elle alignait une importante flotte de bombardiers légers et de bombardiers torpilleurs destinés à opérer depuis ses porte-avions on comptait aussi des bombardiers terrestres moyens et lourds. Dans cette dernière catégorie l’avion sans doute le plus remarquable fut le Nakajima G8N Renzan. Au début de l’année 1943 la marine impériale japonaise demanda à Nakajima de développer un bombardier lourd terrestre. L’avionneur avait développé quelques temps plus tôt l’étonnant G5N Shinzan mais qui n’avait pas donné pleine satisfaction aux amiraux nippons. Le cahier des charges fut affiné et exposé en septembre de la même année. Il était très précis le futur avion devait pouvoir emporter quatre tonnes de bombes à 3700 kilomètres ou une tonne et demi à 7400 kilomètres. Sa vitesse maximale devait pouvoir atteindre 600 kilomètres heures et son plafond pratique 10 000 mètres. Pour l’époque c’était un véritable challenge que devaient relever les ingénieurs de Nakajima. Trois cents exemplaires devaient pouvoir entrer en service au plus vite. Officiellement l’avion reçut la désignation de Nakajima G8N et le patronyme de Renzan. Devant la précision des demandes officielles les ingénieurs décidèrent de faire appel au moteur turbocompressé à dix-huit cylindres en étoile NK9K-L Homare de 2000 chevaux. Bien que très complexe ce moteur développé par Nakajima semblait le plus à même de propulser le futur bombardier. Il dérivait de celui qui motorisait alors le torpilleur embarqué Aichi B7A Ryusei. Quatre de ces moteurs devaient équiper le G8N. Finalement le prototype fut assemblé à la fin du mois de septembre 1944. Extérieurement le Nakajima G8N Renzan se présentait sous la forme d’un quadrimoteur de construction mixte en métal et contreplaqué doté d’une voilure droite médiane et d’un train tricycle escamotable. Il possédait six postes de tirs défensifs. On trouvait tout d’abord trois tourelles pour deux canons de 20 millimètres chacune installées sur l’extrados du fuselage, sous son intrados, et dans la queue. Venaient ensuite les deux sabords latéraux pour chacune une mitrailleuse de calibre 13 millimètres. Enfin deux de ces armes étaient jumelées dans le nez du bombardier lourd. Sa charge offensive atteignait 4000 kilogrammes avec la possibilité d’emporter deux bombes de fort tonnage de 2000 kilos chacune. Le G8N était prévu pour un équipage de dix hommes. Il réalisa son premier vol le 23 octobre 1944. Ce prototype fut remis aux autorités navales japonaises au début du mois de janvier suivant. C’est à cette époque que l’avion fut identifié par les Alliés qui lui attribuèrent le nom de code de Rita. Dans le même temps deux premiers avions furent produits et remis à la marine impériale au début du mois de juin 1945. Elle les accepta immédiatement au service comme G8N-1. Malheureusement pour eux ils ne purent jamais réaliser de mission opérationnelle, le ciel du Japon étant alors totalement aux mains des chasseurs américains de l’US Army Air Force et de l’US Navy. Deux sous versions furent lancées en développement. La première était le G8N-2 capable d’emporter un avion-kamikaze Yokosuka MXY-7 Ohka en lieu et place de la charge offensive et disposant de moteurs Mitsubishi MK9 en lieu et place des Nakajima NK9K-L Homare. La seconde était le G8N-3 qui se résumait en un G8N-1 entièrement métallique. Après la reddition japonaise, suite aux bombardements nucléaires contre Hiroshima puis Nagasaki, un Nakajima G8N Rita fut saisi et expédié aux États-Unis. Testé par des pilotes d’essais californiens l’avion se révéla inférieur au Boeing B-29 Superfortress mais au moins équivalent voire supérieur aux dernières évolutions du Consolidated B-24 Liberator. Les vols d’essais américains démontrèrent que les ingénieurs avaient dû rogner sur la vitesse de l’avion pour lui permettre de tenir son plafond pratique. Par contre le G8N n’était pas exactement un avion évident à prendre en main, notamment lors des phases d’approche à basse altitude et d’atterrissage. L’exemplaire américain fut envoyé à la ferraille début 1947. Il ne reste plus rien de nos jours de celui qui demeure parmi les plus impressionnants avions japonais de la fin de la guerre du Pacifique. Quatre exemplaires seulement du Nakajima G8N Renzan furent produits, six à huit étant en cours d’assemblage lors de la fin du conflit.
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