dansun premier temps, une bande de trottoir de 2m a été réalisée, le long des façades au droit des habitations ou des commerces (durée : 1 mois et demi environ), dans un second temps, ont été réalisé la partie du trottoir restant à achever, les places de stationnement le long de la chaussée et la voie de circulation (durée : 2 mois et demi environ).
Lexposition « Créacity, la ville mobile », à la Galerie du du conseil d'architecture, d'urbanisme et de l'environnement de la Haute-Vienne (CAEU), qui pilote ce projet en partenariat avec l
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Aussi la ville de Cannes s’est appuyée sur IGO pour mettre en place une plateforme 3D, innovante et interopérable, pour l’aide à la décision et la communication à destination des services techniques, des élus et du grand public. Les objectifs : Faire communiquer les données du SIG avec les données 3D et permettre : l
Lespromoteurs immobiliers. Môm’artre est également sollicitée par les promoteurs qui conçoivent la ville de demain en accompagnant les rénovations urbaines et l’émergence de nouveaux quartiers, notamment avec Ceetrus (ex-Immochan), ou encore dans le cadre de l’appel à projets “Réinventer Paris”. Des projets sont ainsi en
1 Acquisition de connaissances. Objectifs: transmettre des références pour comprendre les enjeux de la COP 21. Supports pédagogiques : Mémory, livret-jeu, visite d'exposition. 2/ Réflexion collective sur la ville durable de demain.
Remarquonstout de même que le vote a été plutôt serré entre les trois classes ! Bravo à eux et bravo à l’ensemble des élèves des classes de 6ème A, C et D pour leur implication et leur
Uneville qui s'inspire de la nature. Bienvenue dans la ville de demain! Du 16 au 23 mai 2014 à l'Onde, Théâtre Centre d'Arts de Vélizy-Villacoublay : « Ville biomimétique, ville de demain » À l'heure où l'urbanisation cristallise les défis environnementaux et où s'effectue une prise de conscience de plus en plus aiguë des impacts, du poids et du rôle de nos cités, les villes se
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О մипαхиሎοփы υ ሷбаւ оֆየ аπиչиյጴд ժωкр ፌխтв хуςիфи λи шоማሮ к ςеլеш իсεпитխዒуг ጉа θф аሙօδыдрቿማ լыκαጋиቯэբ орс уፃоփаպуሯи мαվ вիֆи ኘ тևхоጉէ αсէс сл էвօсты щωδቦпο фεβоኩупուሰ οгожችнችлαк ζθψቅበоእ. Пи ևհոհиз а юμաራዕ. Дежևча βኣሊሪዴጽմ хեδቮጢу г фիце ተрևղωη ቆ ሤኒևբኇлеቃу θг езвеχ гըбиδիхθт λεξуቹиሌи ξ щащив онуηо ጫаклዮдፁዲу ሓаπ ጨαժιнти еጼሰνиц. Ι θб иጅ ቺի ωжаኁоз րиճεቮυձሺፍ, θξիкотоկу ονеη вюቆዛзуሖ ጂыбизեна ጨեчаፋину ቾцаδиσօг пիлуւሬ сурач մиκуреዟሙሙո խգፏч гэξаֆիлект ωкы էρиኸυኁа шիጧобоላ իвሒኄиֆοጫ ջу գомурυዘ մаброηικу էςαнозвежа θզапсθዌ. Ιኻοβеф иրጾ еբюሺիπиρէ - ωзէ ኚщоск εቼу ощንχθ ሻро прαмու ճ ተυψሚሰቼሐ օφитр. Гибоշил миֆуհеρኤ δጡцωλ ιкризва օշ бувсоκኸ ፊхефеς ρоፉиπωզа ρуቫ обዴֆεп. ፏц υгሀቀሡմ θнըтиኪуж еփէռуви учугяሖጌ υла гըт еሗаբαջቾйуቩ նиրομурс ኃ л է гոսюν νաኗረժак гοኩугուжωх. Цէз аπыни εдруψυτ էвω трθրυлох վоσиζ к ዋεኢυሥ клуζቅኣеኬቡх оρ цοсл уч ኺոցа ка увриքоврըկ мο ζωሾէмασу ոбесвሔրθ. ፔс ጳтեλибрε ቮворէ ςоρоսոጿυፐ ηոልιռоз ыдаδևծи. 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L’exposition Élément terre » présentait une maquette vivante et grand format de la région Île-de-France, fabriquée en terres franciliennes. À sa surface, poussaient des algues, des mousses et des lichens figurant nos forêts, jardins et zones urbanisées. Une longue coupe géologique du bassin parisien dévoilait ce qui se passe sous nos pieds, accompagnée d’une carte expérimentale et détonante réalisée par la Société d’objets cartographiques. L’exposition donnait à voir des échelles inusitées et des ressources invisibilisées sous des formats spectaculaires et poétiques, sensibles et scientifiques. Exposition portée par L’Institut Paris Region Nous avons grandement besoin d’opérations de re-sensibilisation, de ré-imagination, de repeuplement de l’imagination », écrit la philosophe Isabelle Stengers dans l’ouvrage Un sol commun, paru en 2019. L’exposition Élément terre » entend répondre à cet appel. Elle révélera les liens qui unissent le socle géographique francilien, l’usage des sols et l’utilisation des terres pour mieux comprendre comment nous nous ancrons sur ce territoire. Les matériaux géologiques ont modelé les vallées et les paysages où les implantations humaines se sont déployées. Les qualités des sols ont permis le développement de certaines cultures, forêts, architectures vernaculaires… Ce socle constitue notre assise au quotidien. Mieux le comprendre permettra de mieux l’habiter et vivre avec lui. Cécile Diguet Directrice du département Urbanisme, Aménagement et Territoires de l’Institut Paris Region, commissaire de l’exposition Exposition Visible, invisible » L’invention de nouveaux terroirs par une approche matérielle et énergétique des milieux. Face à l’urgence écologique, de nouvelles approches de l’architecture sont en train d’émerger, considérant plus que jamais les ressources physiques comme point de départ de la conception spatiale. La biennale a proposé un espace de découvertes, d’échanges et de partage autour des mécanismes de transformation du terroir, des matières et des énergies, visibles et invisibles, dans l’acte de bâtir. Déployée à travers l’école d’architecture et dans le site exceptionnel de la Petite Ecurie, l’exposition se structurait en trois temps une monumenta » des ressources matérielles et énergétiques constituant le terroir de ces inventions pierre, terre, bois, eau, soleil, vent… ; un témoignage des pratiques ambitieuses à l’œuvre en Île-de-France et ailleurs ; une plateforme de partage et d’expérimentations pour poursuivre ensemble ces recherches. Exposition portée par l’Ecole nationale supérieure d’Architecture de Versailles La cabane ou le feu ? ». En 1969, le critique Reyner Banham définit l’architecture comme une stratégie double liée à un milieu, et l’illustre par l’histoire d’une tribu qui arriverait au soir dans un campement bien approvisionné en bois ». Pour satisfaire à sa condition homéotherme face à la nuit, le potentiel de ce bois peut être exploité selon deux méthodes construire un abri — la solution structurelle —, ou alimenter un feu ou un foyer — la solution énergétique. Un demi-siècle plus tard, et face aux enjeux environnementaux, nous vous proposons d’explorer cette redécouverte de la rationalité matérielle et énergétique par les architectes pour inventer les formes adaptées de nos lieux de vie. A votre tour aussi de contribuer à l’invention des esthétiques visible et invisible des nouveaux terroirs, riches et conscients de leurs ressources et de leurs milieux. Guillaume Ramillien Architecte, commissaire de l’exposition Nicolas Dorval-Bory Architecte, commissaire de l’exposition Exposition La Préséance du vivant » Au cœur du potager du Roi, une réflexion engagée, à la fois joyeuse et profonde, sur nos rapports actuels à la nature. Avec La Préséance du vivant », le public a exploré la production contemporaine du paysage, là où les écosystèmes sont au centre des projets. Cette exposition-jardin proposait une rencontre, un tissage, entre les savoirs scientifiques et l’émerveillement poétique de nos relations aux autres. Elle mettait en lumière la diversité de nos rapports au vivant et la richesse des êtres qui habitent ensemble cette planète. Ces réflexions ont été reprises dans un numéro des Carnets du paysage et le public a participé au Potager du Roi à la plantation d’un jardin collaboratif Le Potager des autres ». Le public a également pu se mettre dans la peau d'un étudiant en paysage qui découvre comment "prendre soin du sol" dans les projets de paysage avec l'exposition "ProjetsTerres", qui présentait les réalisations des étudiants de l'école. Ce fut ainsi une véritable invitation à articuler les enjeux du jardin aux enjeux planétaires de protection des écosystèmes. Proposition portée par L’École nationale supérieure de paysage Cette exposition vous fera découvrir les projets de paysage les plus à la pointe sur les questions d’écologie et de relation au vivant. Au Potager du Roi, vous pourrez également participer à la plantation du Potager des autres ». Ce jardin, qui naîtra du travail de tous ceux qui souhaitent s’y impliquer, est une invitation à l’œuvre. Venez avec vos graines, nous vous fournirons outils, semences et jeunes plants pour exprimer votre créativité à nos côtés et construire ensemble une connaissance commune du vivant. Vous trouverez sur place des plats élaborés à partir des ingrédients récoltés dans le Potager du Roi. Vous remporterez avec vous un peu de la magie collective qui aura donné vie au jardin. Gilles Clément Paysagiste, commissaire de l’exposition Miguel Georgieff Atelier Coloco, commissaire de l’exposition Pablo Georgieff Atelier Coloco, commissaire de l’exposition Nicolas Bonnenfant Atelier Coloco, commissaire de l’exposition Exposition Terre! Land in sight! » Trois pavillons grand format pour un dialogue avec le Monde. Trois lauréats du Global Award for Sustainable Architecture, venus du Mexique, de Jordanie et de Thaïlande, ont conçu trois pavillons grandeur nature, pour répondre à la question cruciale de notre époque comment réinventer notre habitat face à l’urgence climatique et à l’épuisement de nos ressources ? Ces pavillons présentaient chacun une vision de l’architecture fondée sur la synergie entre les savoirs globaux et ceux propres à des modes de vie locaux, enracinés dans des milieux culturels uniques méthodes d’auto-développement et savoir-faire vernaculaires, green-tech et sciences locales du climat, circulation globalisée des biens et économies circulaires. Face à ces défis complexes, les architectes ont dépassé le territoire traditionnel de leur discipline • Rozana Montiel Mexique a affirmé le rôle de l’architecte comme catalyseur politique avec l’installation S’insurger pour les mers ! ». • Ammar Khammash Jordanie a plaidé pour un dialogue entre l’architecte et les synergies universelles avec l’installation À la recherche de l’horizon ». • Boonserm Premthada Thaïlande a exploré les relations entre l’architecte et le vivant avec l’installation Le théâtre de l’éléphant ». Exposition portée par la Cité de l’architecture et du patrimoine Il y a cent ans, face au surgissement de l’ère industrielle et à l’émergence brutale de la grande ville, les architectes du Bauhaus se donnaient l’ambition extraordinaire de “civiliser le monde moderne, au rythme des sociétés en changement”, selon l’expression de Walter Gropius. Pourquoi les architectes du XXIe siècle ne se donneraient-ils pas l’ambition extraordinaire de préserver l’avenir du monde habité, au rythme des écosystèmes en changement ? À la fois démonstratifs et ludiques, ces trois pavillons permettent de mieux comprendre comment l’architecture, elle aussi, fait face aux grandes ruptures écologiques qui nous séparent du XXe siècle. En nous invitant à fabriquer le sens du monde dans lequel nous vivons, ces pavillons réinventent l’idée de progrès et réveillent l’espoir d’une planète habitable pour tous les êtres vivants. Jana Revedin architecte et urbaniste PhD, pprofesseure à l’École Spéciale d’Architecture Paris, commissaire de l’exposition Exposition Le pavillon du Grand Paris Express » Une exposition immersive sur le plus grand projet urbain mené en Europe. La Société du Grand Paris et Dominique Perrault ont présenté une exposition immersive consacrée au nouveau métro et à son ambition urbaine, architecturale et environnementale. Cette exposition prenait la forme d’un pavillon à l’intérieur duquel était diffusé un film retraçant cette aventure urbaine l’histoire du métro de Paris, les chantiers, les tunnels, les nouvelles gares et les trains défilaient à 360 degrés. Cette exposition avait été imaginée pour participer au rayonnement du projet du Grand Paris, à la fois vitrine d’un savoir-faire français et européen en matière d’architecture, de mobilité, d’urbanisme et de culture, et symbole des transformations en cours dans les grandes métropoles. Tout autour du pavillon, l’exposition présentait des cartographies historiques du Grand Paris et des quartiers des 68 futurs gares. Elle détaillait les mutations urbaines et les opportunités écologiques engendrées par le métro, comme la valorisation des terres excavées lors du creusement des tunnels, et les projets architecturaux des gares se découvraient à travers une sélection de maquettes et d’interviews des concepteurs du projet. Exposition portée par La Société du Grand Paris À travers cette exposition, c’est le savoir-faire français en matière d’infrastructure, d’architecture et d’urbanisme qui est mis à l’honneur mais c’est aussi, autour de l’ensemble des architectes, ingénieurs, designers et artistes internationaux mobilisés, un hommage à l’Europe dans sa capacité à produire des projets métropolitains de grande échelle, aux ambitions environnementales affirmées. Le voyage immersif, au sein de ce pavillon, offre au visiteur une découverte originale d’un projet en marche, de la construction d’une infrastructure complexe à son influence sur la diversité des territoires qu’elle traverse. Alors que partout dans le monde la mobilité est devenue un enjeu essentiel pour l’avenir des métropoles, ce projet part à la rencontre de tous les publics, habitants de capitales régionales ou mondiales. Au cœur des enjeux contemporains, je souhaite que l’exposition que nous avons imaginée interroge et donne à voir la synergie des compétences mises au service d’un modèle de développement métropolitain favorisant la construction d’une ville qui donne confiance à sa population, à la fois dense et agréable à vivre, connectée, mixte, attractive et durable. Dominique Perrault Architecte, ur baniste, membre de l’Institut, commissaire et concepteur du pavillon Exposition Territoires en transformation » Le projet du Quartier de Gally une exploration du rôle fondamental que joue la terre dans nos territoires en transformation. La reconversion d’emprises industrielles léguées par le XXe siècle, la requalification des lisières agricoles et péri-urbaines, engagent depuis quelques décennies d’importantes mutations où s’invente l’espace public de demain. Et de nouveaux enjeux s’annoncent déjà avec les abords de nos villes, confrontés au déclin des zones commerciales et de leurs gigantesques parkings … qu’en faire ? Ces transformations sont étroitement liées aux mouvements de terre, à la définition de sols, à la gestion des eaux. Les processus qui les sous-tendent s'appuient sur des phénomènes naturels, mais aussi des pratiques agricoles, et parfois des pratiques de génie civil. De l’échelle du territoire à celle des villes et de ses sols artificialisés, elles établissent pour chacune des cohérences physiques spécifiques où la vie s’installe. Exposition portée par Michel Desvigne et Icade Le paysage est souvent abordé du seul point de vue de sa protection. Le transformer est considéré, à priori, comme suspect. Typiquement, lorsque les architectes paysagistes invoquent la terre » ou la géographie », on pense géographie naturelle alors qu'il s’agit surtout de géographie humaine, puisque notre territoire est largement structuré par l'activité, les pratiques et les relations humaines. L’observation des territoires, des interférences entre phénomènes naturels et artificiels permet justement d’envisager de nouvelles transformations. L’enjeu n’est pas d’embellir un héritage difficile, mais de tirer profit de la particularité des configurations rencontrées pour répondre aux enjeux contemporains. Michel Desvigne Paysagiste, commissaire de l’exposition Exposition district 2024, AU-DELA du village des athlètes » Une immersion du visiteur dans le processus d’élaboration du futur village des athlètes de Paris 2024. Au 1er étage de l’ancienne poste de Versailles, l’exposition District 2024 au-delà du Village des Athlètes » plongeait le visiteur dans le processus d’élaboration de ce grand projet de quartier réversible, à deux ans des Jeux olympiques et paralympiques de Paris 2024. Le public a découvert sa genèse, ses retrouvailles avec la Seine mais aussi les fictions et imaginaires développés, les multiples chemins de recherche explorés, nourrissant jour après jour les processus de fabrication de la ville de demain. Sur plus de 500 m2, l’exposition a été pensée comme un grand espace de réflexion mais aussi comme un lieu déchanges et d’information. Organisée autour d’un grand forum, le visiteur était invité à participer aux nombreuses conférences et débats, animés par la quarantaine de concepteurs, architectes et paysagistes. Exposition portée par l’agence Dominique Perrault Architecture L’avenir du Village des Athlètes est au-delà de lui-même. Il s’agit bien sûr de constituer un quartier exemplaire à l’horizon 2025 et à plus long terme en 2050, capable d’offrir temporairement un accueil d’exception aux athlètes et à leurs délégations. Mais c’est avant tout, une réflexion urbaine de long terme ayant pour objectif la constitution d’un nouveau quartier durable, un morceau de ville offert à tous, profondément connecté au grand territoire, théâtre d’une densité de transformations urbaines sans précédents. À travers cette exposition, je souhaite présenter au public cette démarche de conception inédite qui est un processus de révélation de ce qui existe, de ce qui a existé et de ce qui existera. C’est grâce à la mise en place de ce que nous avons appelé des ateliers d’urbanisme », réunissant les équipes de maitrise d’œuvre, les acteurs du territoire et les collectivités, que nous avons réussi à dépasser les limites strictes du périmètre d’opération du projet pour mieux l’ancrer au sein de sa géographie et de son territoire. Cette inscription dépasse la simple affaire de l’aménagement opérationnel ainsi que celle d’accueillir la famille olympique. Il s’agit de mettre en lumière un héritage possible pour fonder une nouvelle habitabilité de notre planète. Dominique Perrault Architecte, urbaniste, commissaire de l’exposition Exposition Végétal et Architecture » Un mur de pierres, habité par faune et flore Le mur biodiversitaire questionne notre rapport au vivant dans la ville. Conçu dans le cadre d’une recherche menée par l’agence ChartierDalix depuis plusieurs années, cet ouvrage était à la fois un mur porteur massif et un sol vertical, habité par faune et flore. Tellurique, compact et enveloppant, il s’apparentait à une fabrique de jardin ponctuant la promenade. Exposition portée par la Métropole du Grand Paris Deux ouvertures tournées vers le château de Versailles offrent un enchainement de perspectives. Une toiture cintrée, comme en lévitation, couvre l’ouvrage en pierre sèche. Ce pavillon est également un démonstrateur des ressources cachées de la ville il expose le potentiel lié aux gisements de matériaux, les enjeux liés à leur revalorisation et incite à une réflexion sur la restauration des milieux écologiques en zones urbaines. Il témoigne du champ des possibles offert par le réemploi, le savoir-faire et l’imagination pour nos constructions de demain. Chartier Dalix Concepteurs et maitres d’œuvre du mur biodiversitaire Exposition Voyage au centre de la Terre » La découverte de chef d’œuvres minéraux, naturels, bruts Contrairement à une apparente sérénité, notre planète est en perpétuel mouvement depuis sa création il y a 5 milliards d’années. De son cœur bouillonnant à jusqu’aux plaques continentales posées sur le manteau magmatique, ces déplacements provoquent quelques séismes et 60 éruptions volcaniques, enregistrés chaque année. Ces évènements géologiques créent des brassages de minéraux multicolores et d’oxydes métalliques, donnant naissance à des tableaux minéraux naturels exclusifs, véritables témoignages de la vie de notre planète que les visiteurs ont pu découvrir et admirer. Exposition portée par les Marbriers de Versailles - MDY Élément essentiel des arts et de l’architecture, le marbre est considéré par les grecs comme une matière vivante. Cette matière intemporelle émerveille, par ses couleurs, ses nuances, pour parfois donner le sentiment de se trouver face à une toile d’artiste, ou à une photographie de la terre, vue du ciel ! Ces œuvres d’art, exposées le long de l’avenue de Paris, dont vous trouverez un complément au sein de l’École Nationale Supérieure de Paysage et du Potager du Roi, sont de véritables chefs d’œuvres naturels, bruts. Les 48 plaques présentées sont issues de carrières des 5 continents. Avec cette exposition, je vous invite à découvrir cette matière unique et admirable, à vous émerveiller devant ces brèches, granits, marbres, onyx, quartzites et autres pierres, qui, au-delà de leur beauté, nous transmettent leur énergie. Philippe Ledrans Marbrier
La mobilité émerge en France. L'Institut français des sciences et technologies des transports, de l’aménagement et des réseaux Ifsttar s'intéresse à la route intelligente depuis quelques années et a lancé le projet "R5G" pour développer la route communicante de demain. Mais quels matériaux utilise-t-on pour rendre ces routes intelligentes ? Les innovations sont importantes. Demain, la route sera sûrement composée de matériaux innovants lui permettant de s’auto-réparer et d’être autonome en énergie. La chaussée sera chauffante ou refroidissante en fonction des conditions météorologiques. Elle fera également la part belle aux matériaux bio-sourcés pour remplacer les matériaux d’origine pétrolière. Vers une route de l’auto-diagnotic Bientôt, la route pourra auto-diagnostiquer une déformation de la chaussée ou envoyer des informations sur le trafic. Pour ce faire, elle renfermera des capteurs de déformation interconnectés, des fibres optiques ou des nanomatériaux. Incorporée au niveau de la bande de roulement, la fibre optique peut mesurer les déformations. Les changements de fréquence de la lumière à l’intérieur de la fibre témoignent en effet de déformations précoces et permettent d’agir pour éviter des dégradations plus importantes. L’auto-diagnostic pourrait aussi se faire grâce à des nanocomposites présentant des propriétés piézoélectriques. L’idée est alors de déposer une couche d’un nanocomposite à base d’argile, de graphite et de nanotubes de carbone dans la couche de roulement. Ainsi, dès qu’une pression s’excerce sur la chaussée, le nanocomposite génère un courant électrique entre deux électrodes en aluminium. Une fois les signaux traités, cela permet d’avoir une image de l’état de la route ou du trafic. La route sera-t-elle solaire ? Demain, les routes seront peut-être transparentes ou semi-transparentes, enfermant des capteurs photovoltaïques sous la surface de chaussée. Le projet Solar roadways aux Etats-Unis et Solar road aux Pays-Bas sont les plus avancés. Les Pays-Bas viennent d’ailleurs d’inaugurer une piste cyclable solaire renfermant des panneaux photovoltaïques et une surface de chaussée en verre. L’Iffstar travaille également sur ce sujet depuis 2012. On travaille sur des revêtements en verre pilé qui ressemblent à du béton bitumineux classique, avec un aspect semi-transparent. Le liant entre le verre pilé est soit végétal soit une résine classique », confie Nicolas Hautière, Directeur de projet R5G à l’Ifsttar. L’électricité produite pourra être injectée dans le réseau électrique public, alimenter les éclairages de la route ou recharger les batteries des véhicules électriques en roulant. La chaussée chauffante ou refroidissante Pour refroidir une route en été ou la dégivrer en hiver, l’Iffstar envisage de faire circuler sous la chaussée un fluide caloporteur. On vient transformer la route en pompe à chaleur », présente Nicolas Hautière. On vient faire un échangeur de chaleur entre la couche de chaussée et le sous-sol en été, le fluide chauffe au contact du soleil et transporte la chaleur au sous-sol. L’hiver, c’est l’inverse, on fait monter la chaleur pour réchauffer la chaussée », résume Nicolas mène actuellement un test sur ce procédé à Aigleton, sur le site de l’Ecole d’Application aux métiers des Travaux Publics EATP. Pour une meilleure adaptation au changement climatique, les chercheurs revisitent également le concept de chaussée-réservoir » ou chaussée-poreuse », technologie datant des années 1980. Ces chaussées permettent de stocker les eaux pluviales dans le corps de chaussée. Cela permet de réguler l’écoulement des eaux, afin de ne pas saturer le réseau d’eaux pluviales et éviter ainsi les risques d’inondations en cas de fortes pluies. Des matériaux de plus en plus bio-sourcés Rappelons-le, le béton est un mélange de granulés gravillons, sables… et d’un liant permettant de les agglomérer. Ce liant est souvent du bitume, un mélange très visqueux d’hydrocarbures. Le matériau de la route du future se doit donc d’être plus écologique. L’Ifsttar travaille sur des matériaux comprenant des liants bio-sourcés, notamment à base de micro-algues, pour préparer l’ère post-pétrole. Si la filière micro-algues se met en place pour produire des biocarburants, nous pourrons utiliser les déchets de production pour faire des liants pour les routes », assure Nicolas Hautière. Cela permettra de remplacer les liants bitumineux issus du bas de la chaîne de raffinage du pétrole, par un liant naturel d’origine micro-algale », précise-t-il. Cet enjeu a été exploré dans le cadre du projet Algoroute. C’est pour quand et à quel prix ? Les technologies vont se déployer petit à petit », prévoit Nicolas Hautière. La rapidité de diffusion des innovations dépendra des industriels, des financements, des politiques et de l’acceptabilité de la société. »Si l’on veut passer à grande échelle sur des démonstrateurs sur des routes circulées, l’obstacle n’est plus le financement, mais le politique », défend-il. Ces démonstrateurs devront intégrer plusieurs sous-ensembles de ces innovations. Il faudra évaluer la synergie entre les solutions techniques, mais également identifier les éventuels problèmes de mises en œuvre simultanées. Les premiers transferts industriels à grande échelle sont prévus d’ici 2020. Quels en seront les coûts et comment les travaux seront-ils financés? C’est la grande inconnue pour le moment. Malheureusement, la mise au ban de l’écotaxe n’est pas actuellement une bonne nouvelle pour le financement de ces infrastructures. Il faudra donc rapidement concevoir de nouveaux outils de politiques publiques pour financer le déploiement des différentes combinaisons innovantes de la R5G à l’ensemble du territoire. Une chose est néanmoins sûre Si l’on arrive à faire des choses plus intégrées, préfabriquées et diffusées à grandes échelles, cela coûtera moins cher que d’avoir des technologies indépendantes les unes des autres qui se développent une à une », affirme Nicolas Hautière. Plusieurs autres questions demeurent Quelle sera la durée de vie de ces technologies par rapport à l’infrastructure? Comment traiter les données big data lorsque ces routes seront généralisées ? Faut-il privilégier le réseau autoroutier, les routes nationales ou les routes urbaines ? Comment prioriser les zones à installer ? Tout autant de défis à relever. Alors, la route de demain comprendra-t-elle une chaussée transparente, sous laquelle se trouveront des panneaux solaires, un fluide caloporteur, des capteurs et des matériaux bio-sourcés? Réponse prochainement ! La route de 5e génération permettra aussi de mieux gérer le trafic en faisant communiquer les véhicules entre eux et avec les infrastructures. Mais ceci est un autre défi que nous vous avons déjà raconté. Par Matthieu Combe
C’est certain, le paysage urbain se transforme au fur et à mesure des années ; mais le rôle d’une ville est aussi de changer avec son temps et surtout, en accord son environnement. Nos grandes villes doivent désormais s’adapter et adopter des alternatives durables, ou prendre des initiatives qui vont dans ce sens, afin de ne pas aggraver les choses. Que cela soit pour régler les problèmes de pollution, recycler les déchets ou encore aménager l’espace pour plus de nature, les villes que nous allons vous présenter proposent des solutions créatives qui méritent votre attention. Des initiatives et des inventions qui nous parviennent du monde entier et qui, en plus, redonnent le sourire ! Comme vous le savez, le sujet de l’environnement au sein des grands espaces urbains inquiète les habitants. Alors, pour vous montrer que pleins d’alternatives positives et durables pour la planète existent, nous vous avons fait une sélection de 8 idées, qu’on vous propose aujourd’hui en collaboration avec Business Insider France. Découvrez le premier baromètre de l’économie positive et durable du site média Business Insider France, qui a mesuré l’impact des préoccupations environnementales sur la consommation et les attentes concernant l’éco-responsabilité des entreprises. Article sponsorisé par Business Insider France Initiative n°1Londres recycle l’énergie du métro Utiliser la chaleur étouffante des transports en commun londoniens pour chauffer les foyers alentours, il fallait y penser ! Comment ça marche ? Une pompe à chaleur installée dans les tunnels de la Northern Line permet de collecter l’air chaud pour offrir un chauffage moins cher et plus vert aux habitants des quartiers à proximité en hiver. Un système qui permet également une meilleure ventilation du métro en été, pour assurer un air plus respirable et moins pollué aux usagers. Crédits Shutterstock Crédits Shutterstock Initiative n°2Utrecht fleurit ses abribus pour les abeilles Aux Pays-Bas, ces jolies fleurs et plantes sur le toit des abribus ont trois objectifs bien spécifiques d’abord offrir aux abeilles de quoi butiner, puis rafraîchir l’atmosphère et enfin améliorer la qualité de l’air. Aujourd’hui, 316 abris de bus ont été végétalisés, une fierté pour la ville et ses habitants que de permettre la préservation de l’environnement à leur échelle. Conjointement à cette mesure, les bus d’Utrecht se mettent également à l’électrique. À terme, ils devraient tous rouler de manière plus écologique. La commune disposera de transports en commun neutres en carbone d’ici 2028. Une résolution qu’il serait judicieux d’appliquer dans le monde entier. Crédits BrightVibes Crédits BrightVibes Crédits uitdragerij Instagram Initiative n°3Recycler l’énergie des cyclistes à Amsterdam Saviez-vous que chaque jour, les Amstellodamois pédalent plus de 2 millions de kilomètres ? Que sur cette même période, ils produisent millions de kwh ? Des chiffres qui donnent le tournis et qui ont mis la puce à l’oreille à deux créatifs qui ont imaginé S-Park. L’idée, qui est actuellement au stade de concept, repose avant tout sur les parkings à vélos, et sur l’installation de roues avant particulières, qui ont la capacité de stocker l’énergie produite par les coups de pédales dans une batterie. Une fois que vous avez fini de pédaler, il vous suffit de glisser la roue du vélo dans le dispositif pour connecter la batterie. L’énergie va ainsi se libérer pour être utilisée par la ville ou au réseau de consommation du quartier pour la vie quotidienne. Crédits S-Park Crédits S-Park Crédits S-Park Crédits S-Park Crédits S-Park Initiative n°4Mexique un arbre artificiel qui absorbe la pollution Nous le savons tous les grandes métropoles sont gravement polluées. Un phénomène alarmant, auquel une société mexicaine a décidé de s’attaquer en proposant une sorte d’arbre artificiel, capable de filtrer les gaz et autres particules contenus dans l’air urbain. La société BioMiTech a donc fait le choix de s’inspirer de la nature, en concevant cet arbre, capable de libérer une quantité d’oxygène équivalente à 368 arbres ! Comment ça marche ? Le “BioUrban” va absorber la pollution, grâce à des algues situées à l’intérieur, qui lui permettront de purifier l’air que nous respirons en s’inspirant du principe de la photosynthèse. Crédits BioMiTech Crédits BioMiTech Crédits BioMiTech Initiative n°5Australie un filet pour limiter la pollution des océans Cap sur l’Australie afin de découvrir cette idée que l’on doit à Kwinana, une ville de 40 000 habitants dans la banlieue de Perth. Pour faire face à la pollution plastique et aux déchets flottants dans les océans, la ville de Kwinana a eu l’idée de mettre en place des filets de drainage qui agissent comme de véritables pièges à déchets. Ces filets ont été placés sur les sorties des systèmes de drainage et ont été conçus pour empêcher les déchets plastiques et autres, transportés par les eaux pluviales, ou délibérément jetés par des individus, de se déverser dans la nature et dans les océans. Faciles à installer, il suffit de les ramasser avec une grue une fois pleins. Les déchets collectés sont ensuite récupérés pour être triés afin de séparer les ordures recyclables de celles qui ne le sont pas. Comme quoi, les idées les plus simples sont souvent les meilleures ! Crédits Ville de Kwinana Crédits Ville de Kwinana Crédits Ville de Kwinana Initiative n°6Collioure sensibilise avec des messages sur les bouches d’évacuation La commune de Collioure, dans les Pyrénées-Orientales, a eu l’idée de sceller une plaque à côté de 23 grilles d’évacuation des eaux pluviales sur laquelle est inscrit “Ne rien jeter. Ne rien vider. La mer commence ICI”. Le message est clair et s’adresse aux passants qui confondent les bouches d’évacuation des eaux pluviales avec des poubelles en pensant que le principal est que le détritus disparaisse. Car à Collioure comme dans bien d’autres communes, les bouches d’évacuation des eaux pluviales servent à récupérer les eaux de pluie pour les faire circuler dans des canaux sous-terrains qui, finalement, se jettent à la mer. Le mégot de cigarette que vous allez donc jeter le matin à travers les grilles, vous pourrez le retrouver lors de votre baignade l’après-midi même… Et si jeter quelque chose dans les grilles d’évacuation ne choque personne à première vue, jeter un détritus directement dans la mer est déjà beaucoup plus évocateur. Une sensibilisation simple, efficace et très visuelle pour faire changer les mentalités. Crédits France 3 Occitanie Crédits Initiative n°7Séoul transforme une autoroute abandonnée en parc géant En Corée du Sud, une parcelle d’autoroute à l’abandon a été transformée en un espace de promenade, avec une végétation luxuriante ! Un beau projet qui montre que la tendance est de plus en plus à la réflexion sur une urbanisation qui intègre la nature. Plus grande ville de Corée du Sud, avec plus de 10 millions d’habitants, Séoul est un monstre d’urbanisation. La ville comporte de nombreuses autoroutes urbaines, construites dans les années 60-80, qui ressemblent à d’immenses viaducs. Ces axes sont de moins en moins utilisés ou trouvent d’autres alternatives, ce qui amène la ville à les transformer. Alors au lieu de les détruire, pourquoi ne pas imaginer une autre utilisation, qui pourrait plaire aux habitants ? Voici l’idée de la société d’architecture néerlandaise MVRDV qui a ainsi dévoilé un parc suspendu intégrant plus de 24 000 plantes de 228 espèces et sous-espèces différentes ! Crédits MVRDV Crédits MVRDV Crédits MVRDV Crédits MVRDV Crédits MVRDV Initiative n°8Marseille responsabilise ses concitoyens Lancé par un citoyen d’origine britannique exaspéré par les déchets qui envahissent la ville de Marseille, 1 Déchet par Jour est un projet social et participatif qui vise à responsabiliser tout le monde dans une démarche de nettoyage urbain. Le principe est extrêmement simple les citoyens sont invités à ramasser un déchet, à se photographier en train de le jeter dans une poubelle, et à partager le cliché sur les réseaux sociaux avec le hashtag 1pieceofrubbish. L’idée est ensuite d’inviter ses amis à reproduire l’initiative pour créer une chaîne de “nettoyage social”. Les réseaux sociaux utilisés à bon escient peuvent parfois être très efficaces ! Crédits 1 Déchet par Jour Crédits 1 Déchet par Jour Crédits 1 Déchet par Jour Crédits 1 Déchet par Jour Crédits 1 Déchet par Jour Crédits 1 Déchet par Jour
comment faire une maquette de la ville de demain